Les JO 2024 s’ouvrent dans un pays sans gouvernement

C’est un fait unique dans l’histoire des jeux olympiques.

Les Jeux olympiques d’été de l’an de grâce 2024, officiellement appelés les Jeux de la XXXIIIe olympiade, démarrent ce vendredi, jour saint chez les musulmans, et se poursuivront durant deux semaines dans un pays de mécréants sans gouvernement.

Il se trouve que cette olympiade se tient dans un pays appelé France et que ce pays n’a pas de gouvernement, que l’on appelle plus couramment « l’exécutif », soit un instrument qui exécute les ordres du chef (le chef étant pour le moment celui que vous connaissez).

Que l’on ne s’y méprenne pas. La France a toujours eu un exécutif. Mais c’était avant l’avènement de Macron. Emmanuel Macron ne tolère aucun exécutif autre que lui.

Particulièrement pendant des Jeux olympiques. Des jeux qui se tiennent une fois tous les 100 ans en France, soit un siècle, selon les calculs des experts de l’Élysée. Il faut donc que ces jeux soient obligatoirement associés au nom de Macron. Parce qu’il ne peut exister qu’un seul Macron tous les 100 ans. Du moins, on l’espère pour la France.

S’il n’y a pas de Premier ministre, donc pas de gouvernement, c’est que le grand César Macron n’en veut pas. Il veut être le seul maître des lieux.

Macron essaie par tous les moyens de se faire distinguer sur la scène mondiale. C’est l’appui exagéré à l’Ukraine. C’est l’hostilité démesurée envers Moscou. Le pardon demandé à l’Algérie, l’attachement aveugle à l’islam, l’accueil sans limites des migrants, la soumission totale aux États-Unis, le mépris avoué à la France…

Il sera heureux comme tout en ce 26 juillet.

Juste après l’ouverture officielle des jeux, le Macron ira se recueillir à la mosquée de Paris.

Juste pour calmer une forte pression qui le chatouille dans son intimité.

Son intimité appartient à l’islam.

Macron, comme Mélenchon, ne peuvent pas s’en passer.

Le doigt de l’islam est le seul à pouvoir les soulager.

Quand il y va profondément.

Et, avec Macron et Mélenchon, il y va.

Messin’Issa