Le petit train français

Pour l’écartement des rails il y a la dimension standard : 1,435 mètre, la dimension adoptée par exemple au Japon : 1,067 mètre, et l’écartement pour les petites voies comme celle de Bundaberg, Queensland, qui achemine la canne à sucre vers l’immense sucrerie de cette ville surréaliste parcourue par des petits trains et l’écartement ne dépasse pas 0,600 mètre. Macron est passé de 1,435 à 0,6 mètres.

L’entrée en matière du présent article de ce blog peut être interprétée de deux manières, découvrez sa face cachée mais je livre à votre sagacité celle qui me vient à l’esprit : la France était comme un train confortable roulant sur des voies dont l’espacement des rails était bien de 1,435 m. Aujourd’hui la France ressemble à un petit train essoufflé, en panne de combustible, avec le conducteur de la locomotive poussive qui ne connait pas l’itinéraire de la voie ferrée sur laquelle il roule. De plus il ne regarde pas les signaux le long de la voie car de toutes les façons il n’en tiendra pas compte.

Voilà une métaphore décrivant l’état de la France. Les caisses de l’État sont vides : en comptabilisant les «hors-bilan» la dette globale de la France atteint la somme folle de 8000 milliards d’euros c’est-à-dire plus de 115 000 euros par Français, tous âges confondus ! L’assistant du conducteur de la locomotive se perd en conjectures invraisemblables comme grappiller quelques herbes folles le long de la voie afin de maintenir le feu dans la chaudière de la locomotive, du genre diminution homéopathique du traitement anti-dépresseur que représente les multiples aides sociales distribuées pour apaiser les quartiers de non-droit des banlieues majoritairement peuplées de profiteurs du système social dispendieux que l’État français a imaginé depuis le Front populaire et amplifié par le Comité national de la Résistance.

Le train (de vie ?) de la France doit d’abord se soumettre à une ablation chirurgicale de toutes les tumeurs qui vont le tuer comme par exemple copier le nouveau chef d’État argentin, c’est-à-dire supprimer tous les parasites qui alourdissent l’État, supprimer les trois-quarts des ministères et mettre à la rue tous les profiteurs qui gravitent autour des palais dorés de la République, simplifier le «mille-feuilles» administratif qui quadrille le territoire, remettre les fonctionnaires essentiels au travail et les rémunérer au mérite et non pas statutairement …

Le petit train français, dans ces conditions, pourra poursuivre son chemin mais à une condition : qu’il quitte le «machin» européen qui est une organisation fasciste mise en place dès la fin de la Seconde Guerre mondiale par les Américains (cf. Walter Hallstein, nazi notoire, premier président de la Commission européenne). Le coq nain dans le rôle d’un président donne de la voix avec l’aide compulsive de rails qui sont de plus en plus serrés cheminant sur une voie ferrée qui mène à l’abime … Vous aurez compris qu’il s’agit de cocaïne et que ce petit groupe de «young leaders», formatés et adoubés par le vieux Klaus, le gourou néo-nazi de Davos, est constitué d’homosexuels parfois pédophiles et le reste du monde politique français exclu du cercle «intime» s’en accommode y compris quand, sous l’influence d’un énième rail le président en personne se prend pour Napoléon en imaginant qu’il va réitérer la campagne de Russie. La Bérézina n’est plus dans les immenses plaines de Russie mais à Paris-sur-Seine …

Note. Mon opinion au sujet du petit coq qui dirige la France n’est pas de mon fait mais du grand journaliste Régis Le Sommier qui déclara que ce petit coq était homosexuel devant Bercoff lors d’un «Dernier Verre».

Jacques Henry

Illustration : petit train de Bundaberg, version touristique, (Wikipedia) utilisant de la bagasse comme carburant.

Date de dernière mise à jour : 01/03/2024

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