Marine Le Pen rend hommage à Brigitte Bardot, 90 ans.

Pour la Journée internationale des droits de la femme, ce samedi 8 mars, Marine Le Pen a rendu hommage à Brigitte Bardot. La femme politique était dans son fief d’Hénin-Beaumont pour l’inauguration d’une avenue au nom de la chanteuse et actrice de 90 ans. Elle a partagé sur son compte X (anciennement Twitter) plusieurs photographies de l’événement et quelques mots. On la découvre aux côtés du maire d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, qui est également le vice-président du Rassemblement National.

« Brigitte Bardot est une femme de caractère, de féminité, de liberté et d’engagement », a écrit Marine Le Pen dans son tweet. « C’était tout naturel pour la ville d’Hénin-Beaumont de lui rendre hommage en donnant son nom à cette nouvelle avenue magnifiquement réhabilitée », a-t-elle poursuivi. Un choix qui semble avoir beaucoup plu aux abonnés de Marine Le Pen, qui se sont emparés de l’espace commentaire pour la féliciter. « Bravo Marine pour cette merveilleuse dame ! », a écrit un premier abonné. « Elle le mérite. Merci pour elle ! », a ajouté un second. « Mille mercis pour elle. Merci chère Marine pour cet hommage, tant mérité ! », a écrit une troisième personne. Dans un entretien publié par le magazine ELLE en 2022, on avait appris que Marine Le Pen possède dans son bureau un cadeau offert par Brigitte Bardot. Elle aurait un buste de Marianne dédicacé par Brigitte Bardot.

Marine Le Pen s’en prend (encore) à Aya Nakamura : sa pique inattendue !

Ce vendredi 7 mars, lors d’un entretien accordé au Figaro , Marine Le Pen a réagi à la nomination de Richard Ferrand à la tête du Conseil constitutionnel. « Je n’attends ni n’espère rien de Richard Ferrand, si ce n’est qu’il respecte sa parole, à savoir ne pas faire du Conseil constitutionnel un législateur ni un constituant », a-t-elle simplement fait savoir à ce sujet, expliquant que son parti a choisi « la moins pire » des options. « Quant à l’abstention du RN, elle tient au fait que, quand Emmanuel Macron a proposé ce nom, j’ai presque été soulagée, a ainsi poursuivi Marine Le Pen durant ce même entretien. Car je m’attendais à Aya Nakamura, ou je ne sais quelle autre idée folle  ». Une pique qui n’est pas sans rappeler ses précédents propos concernant la chanteuse, partagés en amont des Jeux Olympiques de Paris. Car lors d’un précédent entretien à L’Express, la cheffe du Rassemblement National avait ainsi expliqué que la décision d’Emmanuel Macron de faire chanter Aya Nakamura lors de la cérémonie d’ouverture des JO était, à ses yeux, « une provocation supplémentaire » du président. « Elle ne chante pas français.  [...] Elle ne chante d’ailleurs pas étranger non plus. »

 Léna Saint Jalmes - Article écrit en collaboration avec 6Médias