Par Jean-Dominique Michel
Odieux et indigne Ordre des médecins ! Non contents d’avoir cautionné le pire désastre de santé publique de l’histoire, d’avoir toléré un piétinement du droit inaliénable de prescrire auquel seuls des gouvernements totalitaires ont osé se livrer dans le passé, d’avoir persécuté indûment les médecins intègres qui ont continué à traiter leurs patients en leur âme et conscience, voilà que les pantins qui le dirigent continuent à harceler les rares Justes qui se sont opposés sans ciller aux ignominies.
« [Les intellectuels bourgeois] disent souvent qu’ils défendent la liberté, mais ils défendent d’abord les privilèges que leur donne, et à eux seuls, la liberté. Et du reste, la plupart du temps, ils ne défendent même pas la liberté, dès qu’il y a du risque à le faire ». (Albert Camus, « Le Pain et la Liberté » (1953))
Christian Perronne est donc convoqué demain matin pour un énième simulacre de justice devant ces malfrats en bande organisée. Comme le sera prochainement un autre ami et collègue du Conseil scientifique indépendant, le Dr Olivier Soulier.
Tout ceci se déroulant à l’heure où le mensonge éclate de toutes parts.
L’échec catastrophique des mesures agressives, notamment de confinement, (je présenterai dans le cadre du CSI ce jeudi les analyses cinglantes des Pr Jay Bhattacharya et John Ioannidis, deux sommités mondiales du domaine de l’Université de Stanford) qui n’ont fait que creuser les inégalités en provoquant une psychose de masse est révélé au grand jour. Tout comme l’ignominie qu’aura été la décision de refuser de soigner les patients avec les remèdes utiles tout en préférant au besoin les tuer avec du Rivotril – la mortalité Covid est corrélée strictement à l’usage de cette substance mortelle comme l’ont montré les brillantes analyses du Dr ès sciences David Michel…2,3
Les gredins qui ont imposé cette monstruosité à coups de manipulations machiavéliques et de procédés mafieux (comme le sinistre Antony Fauci aux États-Unis) sont désormais sur la sellette, avec le dévoilement d’une conspiration liguant le gouvernement Biden, les médias mainstream et les plateformes numériques comme Facebook, LinkedIn, Twitter et Google.
Comme l’exprimait le Pr Battacharya, seule une désinformation à large échelle et une censure féroce de toute vraie science auront rendu possible une telle dérive.
Les procureurs de deux États américains et une kyrielle de scientifiques intègres (comme l’est Christian Perronne) ayant porté plainte contre l’administration Biden et les plateforme concernées, les révélation pleuvent et montrent la démocratie américaine dans sa crue réalité : une ploutocratie crapuleuse prospérant grâce à la corruption et à la censure.
Avec cette nuance qu’une certaine Justice y fonctionne encore là où, en France et en Suisse, la soumission à l’autorité et l’indifférence aux droits du justiciable est devenue la norme du système judiciaire. On y considère que si l’OMS a cautionné telle ou telle absurdité, le juge ne saurait remettre en question ses recommandations, violât-elle ses droits fondamentaux… alors qu’une recommandation de l’OMS constitue le plus bas niveau d’évidence scientifique, sans même mentionner qu’elle émane d’une Organisation internationale reconnue comme la plus corrompue de toutes – ce n’est pourtant pas la compétition qui manque en la matière.
Bref le harcèlement infligé aux seuls vrais experts, intègres et compétents, comme le sont en France Christian Perronne, Didier Raoult et Laurent Toubiana, les tout meilleurs spécialistes de la gestion des épidémies et de la microbiologie, restera comme un tache indélébile sur l’honneur de l’état français et de ses corps constitués.
Christian Perronne aura été cette force tranquille, imperturbable, inébranlable face au harcèlement et aux intimidations de tous ordres comme aux calomnies de la presse prostituée.
Je reproduis ici l’hommage de Anny Duperey, rédigé en soutien au Professeur Christian Perronne, suivi de la prise de position de soutien du syndicat FO des médecins hospitaliers en souhaitant qu’il y ait demain une haie d’honneur pour accompagner ce héros face aux turpitudes de la Macronie haineuse :
POUR LE Pr PERRONNE
Je tiens à apporter mon fervent soutien au Professeur Christian PERRONNE.
Je veux rendre hommage à son courage, à son honnêteté. Lui dire que nous ne sommes pas dupes de cette parodie de procès à son encontre.
Je suis effarée, effrayée de la docilité, de l’aveuglement de mes concitoyens. Combien d’esprits libres faudra-t-il encore bâillonner, bannir, pour qu’ils se réveillent, acceptent de voir vers quelle société on les emmène.
Nombre d’entre eux ne sont même pas au courant du scandale des 15 000 soignants et pompiers chassés de leur métier, sans aucun revenu et interdits de chômage, alors que tout le monde sait à présent que vaccinés et non-vaccinés transmettent aussi bien le virus – et cela pendant que la planète brûle, que nous manquons de médecins et d’infirmières…
Qui pour dire « stop » à cette folie, à cette maltraitance, à cette aliénation de nos libertés, de nos vies qu’on voudrait soumettre à un dictat unique ?
Qui, sinon NOUS.
Sinon des hommes comme Christian PERRONNE.
Il a toute mon admiration.
Anny DUPEREY
Comédienne, Ecrivaine.
Macron va-t-il sanctionner le Pr C. PERRONNE en instrumentalisant le Conseil de l’Ordre des médecins ?
Le 13 septembre 2022, le Pr Christian PERRONNE doit comparaître devant la chambre disciplinaire du Conseil régional de l’Ordre des médecins d’Ile-de-France. Il est bien connu pour s’être opposé à la médecine d’État et c’est pour cela et uniquement pour cela qu’il est l’objet de cette attaque.
A contrario, des milliers de personnes, de malades, de soignants, de médecins, de citoyens, attachés aux valeurs d’humanisme telles qu’elles sont inscrites dans le code de déontologie médicale sont saisis de colère et d’indignation devant cette convocation.
De très nombreux malades, des associations et le grand public lui rendent hommage pour son action constante, dévouée et éclairée, depuis toujours au service des malades et tout particulièrement durant l’épidémie de COVID. Chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital universitaire Raymond Poincaré à Garches, le Pr C. PERRONNE n’a eu de cesse d’y soigner les malades de son service, reçus en consultation ou hospitalisés, en accord avec les connaissances disponibles et sur la base de son expérience et de son expertise dans la prise en charge des maladies infectieuses émergentes.
Le Pr C. PERRONNE, Professeur de maladies infectieuses et tropicales a exercé à l’Université de Versailles-Saint-Quentin, mais il est également un expert reconnu par de nombreuses autorités de santé françaises, européennes et internationales, et ce jusqu’à l’avènement de la crise COVID.
Pour être resté fidèle à son serment de médecin et s’être exprimé publiquement -en son âme et conscience- et pour avoir osé critiquer la politique sanitaire du gouvernement, le Pr C. PERRONNE a déjà été sanctionné de façon ignominieuse en décembre 2020. Bafouant les droits démocratiques de défense les plus élémentaires, M. Martin Hirsch alors Directeur de l’AP-HP, à l’instigation du pouvoir politique, le destituait de ses fonctions de chef de service et demandait au président du Conseil national de l’Ordre des Médecins de le traduire devant une chambre disciplinaire ordinale.
Le 13 septembre 2022, le Pr C. PERRONNE peut être de nouveau l’objet d’une sanction allant jusqu’à l’interdiction d’exercer. C’est le monde à l’envers !
Le Pr C. PERRONNE a fait son devoir de médecin selon le code de déontologie médicale dont les principes essentiels sont d’agir :
dans le seul intérêt des malades et selon les données de la science,
en toute indépendance professionnelle,
avec une liberté de prescription,
avec une liberté de communiquer entre médecins, liberté vitale pour faire progresser la connaissance.
Toutes ces libertés fondamentales ont été progressivement rendues illégales par le gouvernement durant l’épidémie de COVID sous prétexte d’un état d’urgence et de très nombreux médecins ont été sanctionnés pour leurs prescriptions.
La Loi du 5 août 2021 a été encore plus loin en punissant les soignants et tous les médecins qui ont défendu le principe fondamental de libre consentement aux soins et aux actes médicaux pour leurs malades comme pour eux-mêmes.
Le Pr C. PERRONNE conserve le soutien de tous ceux qui restent attachés aux valeurs humanistes de la médecine et qui agissent dans ce sens de mille manières, malgré des temps troublés.
Le SNMH FO réaffirme comme il l’avait fait le 22 décembre 2021 lors d’une manifestation massive de malades, de soignants, de médecins, de citoyens tenue devant les portes de l’hôpital Raymond Poincaré à Garches : « levée des sanctions et arrêt des poursuites à l’encontre du Pr Christian PERRONNE »
Paris le 9 septembre 2022, adopté à l’unanimité du bureau.