11 novembre : Barnier ordonne à un enfant qui porte le drapeau français de brandir le chiffon européen (LAMENTABLE !)

Humour agressif”, “fade”, “méprisant” : l'attitude de Michel Barnier  analysée par un expert

Scène hallucinante, dont on comprend qu’elle puisse révolter tous les souverainistes, mais aussi tous les identitaires attachés à la France, son histoire et donc le respect de ses morts. Un 11 novembre, lors d’une cérémonie officielle, à Meaux, ville de Jean-François Copé, le Premier ministre de la France se permet de recadrer un jeune enfant parce qu’il ne porte qu’un drapeau français. Il lui fait la leçon, estimant que les deux drapeaux sont indissociables et qu’il faut agiter le drapeau bleu, blanc, rouge et le drapeau européen de concert.

Et bien évidemment le maire de Meaux, Copé, qui ose encore se dire, comme Barnier, gaulliste, d’ânonner bêtement, après chaque phrase du Premier ministre : « Exactement. Exactement. Exactement. »

C’est d’abord un nouveau crachat administré à notre pays. Quand nous n’avons pas un président de la République qui insulte l’histoire de France et nos compatriotes à chacun de ses déplacements, nous disposons d’un Premier ministre qui a oublié qu’il n’est plus en service à Bruxelles, comme commissaire européen, mais Premier ministre de la France. Entre 1914 et 1918, 1,3 million de jeunes Français, sur une population de 40 millions d’habitants, ont perdu la vie pour défendre la France, et absolument pas l’Europe. Ils sont morts au nom du bleu blanc rouge et pas de l’infâme drapeau étoilé, symbole de la guerre menée contre les peuples par une dictature européiste corrompue.

Et, en digne Premier ministre de Macron et de son insupportable « en même temps », Barnier se permet un pas de deux avec cet autre collabo LR de compétition qu’est le maire de Meaux, qui réclame carrément la suppression du jour férié du 11 novembre, avec des arguments surprenants et plein de mépris.

Et bien sûr, après une telle provocation, Barnier a beau jeu, sans doute avec la complicité de son copain Copé, de jouer les patriotes à deux balles, en affichant, la main sur le cœur, qu’il est hors de question de toucher au 11 novembre comme jour férié.

Mais il ne précise pas s’il est contre qu’on touche à un autre jour férié. Ce Barnier a passé sa vie à Bruxelles, il est celui qui a fomenté tous les mauvais coups contre la France et ses salariés. Il n’a aucune parole, aucun sens de l’honneur ; pour postuler à la course à la présidentielle, chez LR, en 2022, il a raconté tout le contraire de ce qu’il a fait toute sa vie à Bruxelles, ce qui ne l’a pas empêché d’être battu par la pourtant minable Pécresse.

Barnier incarne cette droite qui a renoncé à la grandeur de la France, malgré des mots grandiloquents jamais suivis d’actes, et qui s’est coulé dans les instance supra-nationales comme l’Union européenne. C’est lui qui a été l’artisan de la trahison du peuple français, en 2005, en rédigeant le traité de Lisbonne, avec la complicité de Sarkozy et Hollande.

Pour la gravité de son acte, pour le lavage de cerveau infligé à cet enfant, pour l’insulte à la mémoire de nos Poilus, il devrait sur-le-champ être destitué et renvoyé en Savoie. Mais ce n’est pas Macron, qui n’a que le patriotisme européen à la bouche, et qui déteste une France qu’il s’acharne à détruire chaque jour un peu plus depuis sept années, qui va le faire.

Et le pire est qu’à part Philippot, Nicolas Dupont-Aignan et Asselineau, qui eux, de manière certaine, vont monter au créneau, on aimerait être certain que d’autres leaders patriotes feront entendre leur voix et exigeront de Barnier des excuses à la France et aux Français.

Il est vraiment temps de balayer cette caste mondialiste, qu’elle ait les traits de Macron, de Barnier, de leurs complices, ou de la gauche immigrationniste, qui est en train d’accélérer la mort de la France.

Cyrano de la Rédaction

 

Date de dernière mise à jour : 13/11/2024

7 votes. Moyenne 4 sur 5.
×