Le nombre de similitudes est frappant entre cette époque en Allemagne et la nôtre aujourd’hui en France.
À l’époque, les élections en Allemagne faisaient suite à la dissolution du Reichstag le 1er février 1933 et la convocation de nouvelles élections. Tout comme en France aujourd’hui avec la dissolution de Macron.
À l’époque, un parti antisémite faisait près de 30 % des voix, tout comme en France aujourd’hui avec le NFP et LFI, en caricaturant.
Extrait d’un podcast de France culture à propos de cette époque : « le rôle joué par la milice en uniforme du parti nazi, les SA attaquant les meetings de leurs contradicteurs, vandalisant leurs permanences, ces bandes de voyous faisaient régner la terreur dans les rues ».
Ça ne vous rappelle rien, comme autre similitude ? Dans les rues françaises, qui fait régner la terreur actuellement ? Les membres du Rassemblement national et leurs électeurs ? Ou bien les antifas, les Blacks blocs (en uniforme noir) et les électeurs de LFI ?
Continuons l’extrait : « Les nationaux-socialistes se prétendaient révolutionnaires. La victoire politique ne pouvait donc procéder, à leurs yeux, du seul processus électoral. Elle devait procéder d’une prise du pouvoir par la force. »
Ça ne vous rappelle toujours rien ? Qui se présente révolutionnaire (tout comme les nazis) aujourd’hui, le RN ou LFI ? Qui prône la force, le RN ou LFI ?
Question : peut-on faire un copié-collé du comportement des nazis de l’époque (début des années 1930) et des électeurs de Mélenchon aujourd’hui ?
Pour répondre à cette question provocatrice, amusons-nous encore et toujours à faire des caricatures, et caricaturons justement la situation via quelques questions fondamentales :
Aujourd’hui en France, tout comme se comportaient les nazis d’hier en Allemagne, quels sont ceux qui cassent, pillent et brûlent ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui attaquent une partie de la population française ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui sont prêts à utiliser la force pour prendre le pouvoir ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui sont antisémites ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui taguent des croix gammées dans « les territoires perdus de la République » pour afficher leur hostilité aux Juifs ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui attaquent, violent et tuent des Juifs ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui agressent dans la rue leurs adversaires politiques ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.
Quels sont ceux qui attaquent les meetings, arrachent violemment les affiches et vandalisent les permanences de leurs adversaires politiques ? Vous connaissez déjà la réponse…
Fort heureusement, tous les électeurs de LFI et de Mélenchon ne sont pas comme ça, mais une partie quand même. Aussi on peut continuer longtemps à poser encore et encore nombre de questions analogues, et à toutes ces questions reviendrait invariablement la même réponse : LFI et Mélenchon. Tout comme revenait invariablement la même réponse à toutes ces mêmes questions dans les années 1930 en Allemagne.
En Allemagne, à toutes ces mêmes questions on répondait : les électeurs des nazis, c’est-à-dire les nationaux-socialistes d’Hitler !
Peut-on en conclure qu’une partie des électeurs de LFI sont les dignes héritiers des nazis vu leurs comportements antidémocratiques, antisémites, agressifs, violents et racistes ? Je vous laisse seul juge. Mais moi, j’ai ma petite idée…
Et quand je dis « antidémocratique », je n’exagère pas ; quand on veut imposer la charia à la place de nos lois républicaines, je n’appelle plus trop ça de la démocratie.
Poursuivons.
Si le Rassemblement national n’obtient pas la majorité aux élections législatives, Bardella refusera de devenir Premier ministre et de former un gouvernement RN. Il l’a dit et sans cesse redit.
Aussi, la logique voudrait que si le RN refuse l’accession au pouvoir, le Président de la République Emmanuel Macron offre le pouvoir à la deuxième force politique en termes de voix : au Nouveau Front populaire. Donc à Jean-Luc Mélenchon comme nouveau Premier ministre.
Mais, est-ce réellement possible ?
N’oubliez pas que beaucoup de gens font pression en ce sens. De partout.
Et justement, si sous la pression de tous ces anciens Premiers ministres, Dominique de Villepin, Laurent Fabius et Lionel Jospin on rajoute à cette liste de champions du monde de la connerie l’ancien président du FMI, le trop fameux ou fumeux Dominique Strauss Kahn (« Il n’y a pas de mal à se faire sucer par une femme de ménage », a encore dit Anne Sinclair) et d’un ancien Président de la République, François Hollande… eh bien tout ça fait du beau monde pour justement nous foutre dans de beaux draps ! Et donc, pourquoi Macron ne donnerait-il pas le pouvoir au Nouveau Front populaire, suite à toutes ces pressions politiques et médiatiques ? Puisque les médias roulent tous pour l’extrême gauche.
Oui, si sous la pression des tous ces hommes politiques de notoriété, Macron cédait ? Aussi bien par lâcheté que par cynisme. Cédait en offrant le gouvernement au NFP. Et le poste de Premier ministre à Jean-Luc Mélenchon. Car ne rêvez pas, la violence l’emportera. Et c’est avec lâcheté que tous les PS, EELV, PC, etc. finiront par se coucher devant les électeurs agressifs et violents de Mélenchon en lui offrant le poste suprême…
Mais Macron ne ferait pas cela que par lâcheté, mais aussi par plaisir d’être disruptif comme il aime à dire, par plaisir malsain de foutre la merde tout en se déresponsabilisant efficacement.
Car en cas de cataclysme, et cataclysme il y aura, Emmanuel Macron s’époumonera avec emphase : « Ce n’est pas moi le responsable, mais les anciens Premiers ministres, ainsi que François Hollande, ainsi que tous les médias qui l’ont exigé ! », tout en pensant silencieusement dans sa tête : « Bande de cons ! Je vous ai tous baisés, et je me réjouis du spectacle de la France s’effondrant sous mes yeux ! C’est tout bon pour l’Europe de détruire cette vieille nation française moisie devenue obsolète et inutile. Et je suis fier d’avoir été l’artificier de cet Hiroshima final. »
La trahison irait-elle jusqu’à ce que les députés macroniens ne votent aucune motion de censure pour faire sauter ce gouvernement d’extrême gauche comportant, peut-être, un ancien Président de la République, François Hollande ? Là est toute la question.
Oui, là est la question cruciale, les députés de Macron voteraient-ils une motion de censure pour dégager aussitôt ce gouvernement d’extrême gauche ? Ou Macron laisserait-il délibérément pourrir la situation, par plaisir malsain, au nom de la démocratie et du droit du peuple à choisir son destin ?
Et puis… si le programme de Macron est de détruire la France, comme le disent beaucoup d’observateurs, il rejoint dans ce cas le programme de Mélenchon, qui lui aussi détruira la France. Leurs chemins sont peut-être différents, mais ils conduisent au même objectif : la destruction de notre nation !
Emmanuel Macron est tout sauf con. Il sait très bien que s’il invoquait immédiatement l’article 16 lui donnant les pleins pouvoirs, cela lui serait reproché et lui retomberait sur le coin de la gueule. Alors que si, suite au refus de Bardella, il offre le pouvoir à Mélenchon, laisse la situation s’envenimer, laisse tout pourrir, tout s’effondrer, il pourra revenir en héros sauvant la démocratie en installant une dictature, justement via l’article 16. Et personne ne le lui reprochera. Tout au contraire. Il sera même acclamé comme un sauveur !
Macron a donc tout intérêt à installer Mélenchon si Bardella refuse le poste de Premier ministre par manque de majorité. Ainsi, tout comme le Président Hindenburg donnant le pouvoir à Hitler, Macron donnera le pouvoir à Mélenchon, sans hésiter une seule seconde !
Alors… alors Macron et Mélenchon, ensemble, s’épauleront pour détruire la France une bonne fois pour toutes. Car avec le programme économique de LFI, la France ruinée finirait rapidement sous la tutelle du FMI et sa souveraineté serait à tout jamais terminée ; et elle n’aurait plus droit au chapitre pour décider de son destin. Le rêve de Macron serait enfin réalisé : détruire à jamais les dernières volontés de souveraineté de la France, et l’enchaîner comme une esclave obéissante et soumise… à une future Europe fédérale. Dont il se voit déjà président.
Aussi, si vous êtes des patriotes et que vous aimez la France, je pense que vous connaissez votre devoir dimanche prochain.
Stéphane Fatrov