Nouveau gouvernement et des ex-ministres à la pelle en devenir
Il y a quelque chose de pathétique dans cette recherche désespérée d’un nouveau gouvernement qui ne durera pas plus longtemps que les quatre derniers de 2024 !
Ces derniers ministres pourront toujours, à la fin de leurs courtes prestations, bénéficier des largesses de l’État.
Les ministres ayant des fonctions régaliennes bénéficient en plus des trois versements équivalents à leur salaire de ministre, d’une protection par un agent de sécurité.
Les autres bénéficient simplement des trois versements équivalents à leur salaire de ministre.
Les Premiers ministres démissionnaires peuvent également disposer d’un véhicule de fonction avec chauffeur et d’un secrétaire particulier durant dix ans.
Les ministres qui travaillaient dans la fonction publique avant d’entrer dans un gouvernement retrouvent automatiquement leur poste.
Ce ne sont pas les seuls d’ailleurs qui profitent de ces largesses. Un député ignare et limité par une intelligence à peine basique, comme Louis Boyard en tant que député, bénéficiera d’une retraite qu’un salarié d’usine, un agriculteur, ou un employé d’entreprise, y compris dans la fonction publique, n’aura pas au bout de ses années de cotisation !
Le député bénéficie aussi de divers avantages en matière de transports, comme la gratuité des trajets SNCF en 1re classe, et de communications, d’une couverture sociale, d’une caisse vieillesse et d’une assurance chômage spécifiques.
En 2023, le montant net de la pension d’un député au bout de 5 ans de mandat s’établit, depuis la réforme des retraites, à 684,38 € nets, selon le site de l’Assemblée nationale.
On comprend mieux pourquoi tous ces charognards se battent pour dévorer un bout de la France sanguinolente qui est à terre. La pitance est bonne.
Depuis le début de l’année, ces quatre Premiers ministres se sont goinfrés sur le pays, Borne, Attal, Barnier, Bayrou, avec leurs cortèges d’affamés.
Il aurait été si simple de laisser gagner le Rassemblement national et d’avoir, de fait, une majorité claire qui nous aurait évité cette gabegie infâme et cette démonstration pitoyable d’une France ingouvernable.
En tant que patriote, même si je ne suis pas un adepte de Madame Le Pen (en économie), nous aurions pu voir ce qu’elle aurait été capable de faire face à l’immigration, la sécurité, la justice, l’UE et le pouvoir d’achat.
Cela nous aurait permis de constater à la fois sa sincérité, sa force, ses actions et ses limites ! Grâce à l’ex-socialiste Attal et à la stupidité des Français qui l’ont suivi, voire changé leurs bulletins de vote au second tour, nous avons cette pagaille à l’Assemblée nationale.
Demain, un nouveau gouvernement ! Pour quelques mois seulement puisqu’il n’y a aucune chance que Macron accepte un Premier ministre désirant gouverner avec la droite nationale, alliée avec ceux qui sont les plus proches de la pensée nationale.
La France est le cadet des soucis des aux épées en chocolat. Des traîtres et des lâches à la Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et l’éolien Macron !
Chaque Français, en son for intérieur, en appelle à la providence, au personnage politique hors du commun qui saura prendre les rênes du pouvoir et redresser la barre en pleine tempête. Il faudrait un Philippe Auguste, une Jeanne d’Arc, un général Bonaparte, un De Gaulle ?
Nous avons en ce moment des tartuffes aux épées en chocolat. Des traîtres et des lâches, tels que Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et l’éolien Macron !
Certains veulent une sixième République alors qu’il suffirait de revenir à l’essence de la Cinquième, débarrassée des saloperies installées en douce lors des derniers congrès pour affadir cette Constitution !
Un exécutif fort, assis sur une volonté populaire issue du vote. Sans doute faudrait-il un peu de proportionnelle afin que 50,1 % ne décide pas contre 49,9 % du reste du peuple.
Il faut revenir au triptyque État-Départements-Communes et supprimer des strates administratives coûteuses et inutiles comme les communautés et les Régions.
En finir avec l’invasion législative confiscatoire des directives de l’UE et affirmer que seule la Constitution et les lois françaises priment sur tout autre texte et traité.
Le parti patriote qui aura la force et la volonté de faire cette révolution des mœurs politiques sauvera la France.
Madame Le Pen semble la mieux placée ! Si, par la volonté du peuple, en contradiction du pouvoir des juges, celui du Conseil constitutionnel, elle devait devenir présidente de la République, alors on pourrait sûrement mieux respirer en France ! A minima.
Gérard Brazon