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Al Andalus : Macron est un négationniste et un apologiste du terrorisme

Société d'Al-Andalus — Wikipédia

Apologie de terrorisme, négationnisme et incitation à la haine.
C’est tout ce que les historiens retiendront du double mandat Macron avec la faillite de la France, l’insécurité galopante, la faillite de l’école et de l’hôpital public.
Il n’y a rien d’autre à retenir.
Dans mille ans il n’y aura non plus rien d’autre à ajouter ni à retenir.

D’un coup d’un seul, Macron de se distinguer une nouvelle fois, au surplus dans un pays étranger, par un discours qui fait l’apologie du terrorisme et incite à la haine.
Apologie du terrorisme quand il fait l’apologie de l’invasion musulmane dans le sud de la France :
« Emmanuel Macron fait l’apologie de l’invasion arabe au parlement marocain : « Les années d’Al Andalus ont fait de l’Espagne et du sud de la France un terreau d’échange avec votre culture ».

La réalité, il faut la rappeler, l’invasion musulmane n’a entraîné que razzias, viols, castrations, excisions, traites d’êtres humains du Peuple Premier d’Europe, voilà ce qu’est le musulman : « razzias et mutilations sexuelles : la face sombre d’Al-Andalous

À partir du VIIIe siècle, l’Espagne musulmane organise la traite, surtout celle des enfants et des adolescents, destinés à devenir des eunuques très prisés.
Les garçons sont volontiers castrés, car les musulmans veulent des eunuques comme serviteurs, et pas seulement pour garder leurs harems. Comme leur religion interdit de commettre ce genre de mutilation, ils la délèguent à des marchands juifs. Pratiquée sans aucune hygiène, cette opération cause la mort d’au moins la moitié des victimes – ce qui donne une plus-value d’autant plus importante aux survivants, réexportés dans l’ensemble du monde islamique.
Un voyageur du Xe siècle, Ibn Hawqal, note avec admiration qu’en Espagne « un article d’exportation bien connu consiste dans les esclaves, garçons et filles, qui sont enlevés en France et en Galice, ainsi que les eunuques slaves. L’ensemble des eunuques slaves qui se trouvent sur la surface de la terre proviennent d’Espagne ». En arabe, le terme « slave » en vient à désigner l’eunuque. L’aristocratie andalouse adore les blondes aux yeux bleus, qui sont vendues à prix d’or sur les marchés, mais qui ensuite ne sont pas non plus épargnées. Car, selon le malikisme (une école juridique qui ne brille pas par son ouverture d’esprit) qui domine en Espagne, les femmes doivent être excisées – et, de ce point de vue, les femmes libres n’étaient pas mieux loties que les esclaves ».

En faisant l’apologie de l‘invasion musulmane en Europe, Macron a donc fait l’apologie du terrorisme, du viol, de la castration et de l’excision, rien de moins :
« Le fait de provoquer directement à des actes de terrorisme ou de faire publiquement l’apologie de ces actes est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende… ».
Il n’y a jamais eu de vivre ensemble sous l’Andalus, il y a eu colonisation avec impôts payés aux musulmans selon la loi du Coran, humiliations constantes pour les Chrétiens et les Juifs, il n’y a eu aucune période culturelle et l’islam n’a aucune culture sinon la culture du génocide, de la razzia et de la violence, c’est tout ce qu’il a apporté.
Il est temps de dénoncer tous les livres d’histoire qui ne sont que des fables, si Charles Martel et l’Espagne ont lancé la Reconquista, c’est bien que les non musulmans ne supportaient pas les musulmans, et l’affaire avec l’invasion actuelle va nécessairement recommencer par une guerre de libération pour les européens non musulmans qui vont devoir prendre les armes pour réitérer ledit Charles Martel de la nouvelle occupation indésirée imposée par des vermines politiques de l’UE.

La coexistence pacifique entre musulmans et Peuples Premier est un mythe inventé pour et par les mondialistes pour nous imposer les maures.
Vous lisez le Coran, reprenez l’histoire du monde musulman depuis Mahomet et de tous les califes, il n’y a jamais eu de civilisation musulmane sinon des bandes de brigands qui rançonnaient et tuaient, des exemples récents suffisent à le montrer comme la destruction des bouddhas de Bâmiyân, de l’antique Palmyre ou des mausolées de Tombouctou.
Le coranisé n’a jamais rien construit de civilisé au sens où nous l’entendons, il n’aime pas la musique, l’école, la liberté de pensée, la viande de porc, l’alcool, les cheveux des filles au vent ou les jambes dénudées : c’est l’anti-civilisation comme il y a l’antimatière qui explose au contact de la matière.
La supposée vie ensemble heureuse avec les musulmans lors de l’invasion des siècles passés n’est qu’un mythe idéologique mondialiste inventé, ledit mahométan de l’époque était déjà insupportable et les siècles n’ont rien arrangé à l’affaire :
« Islamologue et arabisant espagnol, spécialiste de philologie sémitique, Fanjul fut directeur du centre culturel hispanique du Caire et membre de l’Académie royale d’histoire. En 2000, il publie Al-Ándalus contra España : la forja del mito (Al-Ándalous contre l’Espagne) puis en 2004, La quimera de Al-Ándalus (« La chimère d’Al-Andalus ». La fusion de ces deux ouvrages a donné la traduction française : Al-Andalus, l’invention d’un mythe, aux éditions de l’Artilleur…/ ..
Que la cohabitation pacifique au sein d’Al-Andalous soit une mystification historique, cela ne fait aucun doute. « Précaire et difficile, la coexistence a été très tôt insupportable ». Fanjul compare cette époque à l’apartheid sud-africain. Le statut des juifs et celui des chrétiens y serait aujourd’hui qualifié de discriminatoire, comportant même à certaines époques, une véritable répression, voire sur la fin, ce qu’on appelle volontiers génocide ou ethnocide tant qu’il ne s’agit pas de chrétiens. Les Almohades du XIIIe siècle ont clairement eu pour objectif l’hégémonie de l’islam en Espagne comme en Afrique du Nord (où ces moines-soldats fanatisés ont causé, après les Almoravides, la disparition de ce qu’il restait de chrétienté).

Dès les années qui suivirent la reconquête de 711, il y eut des massacres de chrétiens qui, ici ou là, se révoltaient. Entre deux, on autorisait les dhimmis à vivre leur propre vie tant qu’ils respectaient des règles discriminatoires, humiliantes et variables selon l’humeur du prince. Mais lorsqu’ils n’étaient plus disposés à se plier à ces normes ou à de nouvelles règles plus dures, la répression était immédiate. La persécution des chrétiens mozarabes au IXe siècle, les « martyrs de Cordoue », en est un des exemples les plus sanglants. Le grand Maïmonide que revendiquent les tenants du paradis d’Al-Andalous ne sauva sa vie qu’au prix d’une conversion apparente à l’islam. Après sa fuite en Égypte, où il pouvait cesser de paraître musulman, reconnu par un Andalousien, il fut l’objet d’un procès pour apostasie et n’échappa de nouveau à la peine de mort que parce que le cadi al-Fahil qui le jugeait était son ami ».

Déjà à l’époque les rois catholiques estimaient nécessaire de faire partir ces musulmans dont la caractéristique essentielle était d’être « inassimilables », caractéristique qui envoie un écho sourdingue au quotidien supporté par le Juif, le Chrétien ou l’athée français du XXI° siècle qui les pensent désormais, devant leurs agissements de toutes sortes discriminants et insupportables, à l’identique des anciens rois catholiques concernant les coraniques et autres mahométans, inassimilables :
« Qui partage ton métier est rarement ton allié ». Qu’a-t-on reproché à ce livre ? De briser un mythe et d’oser rappeler que les morisques (musulmans « marranes », convertis au christianisme en 1492, sans grande conviction, souvent des Berbères amenés par les Almohades qui avaient entrepris une campagne de remplacement fort similaire à celle qui se dessine aujourd’hui en Europe) formaient un groupe opposé à la société chrétienne redevenue dominante : ils aidaient les pirates nord-africains à ravager les côtes de l’Espagne, emmenant hommes, femmes et enfants en captivité et les réduisant en esclavage. Il n’y a donc rien de scandaleux à ce que les reyes catolicos les aient refoulés au XVIIe siècle, parce qu’ils représentaient un danger potentiel et que pour la plupart, ils s’avéraient inassimilables ».

Or le tocsin alertant sur les méfaits des maures de la période Charles Martel ou de la Reconquista sonne étrangement au contemporain comme si cet appel tragique avait traversé les siècles des oreilles des rois catholiques jusqu’au citoyen encore libre avant submersion totale de France.
C’est qu’en faisant l’apologie de l’islam, Macron vient tout simplement de faire l’apologie des musulmans qui ont égorgé les deux profs de Conflans et d’Arras, de ceux qui ont mitraillé au Bataclan ou écrasé sur la Promenade des Anglais à Nice, qui ont égorgé dans les églises, encore à Nice ou le Père Hamel, Macron fait l’apologie de tous ces coraniques fielleux qui exhalent par tous les pores de leur peau immonde la haine du juif, du chrétien ou du mécréant comme dans ce lien ci-dessous où vous pourrez voir le visage d’une vieille dame prise à partie par les hordes vipérines de musulmans comme on en voit dans ces pays de forcenés, au Pakistan ou en Iran, quand il lapident en public du non musulman ou des femmes qui portent mal le foulard : voilà le vrai visage du musulman coranisé quand il laisse au vestiaire son habit de taqîya :

Ces mensonges éhontés et cette apologie du terrorisme séculaire et même maintenant millénaire des musulmans envers les non musulmans par Macron participe bien à la montée de ma haine envers ce dernier, ce qui du coup le fait tomber illico encore sous le coup d’une loi pénale.
En incitant à ma haine et peut-être la vôtre qui lisez ceci, Macron relève de la mise en examen :
« Vous êtes victime ou témoin d’un écrit ou d’un discours qui incite d’autres personnes à avoir une réaction haineuse ou violente ? Il s’agit d’une incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination. Si ces propos ou contenus sont tenus ou exposés en public, l’incitation est publique ».

Ainsi en faisant l’apologie du terrorisme coranique, au surplus dans une enceinte politique d’un pays islamique comme le Maroc, Macron a incité à ma haine susceptible d’engendrer une réaction violente de ma part comme il est dit sur le site « Service Public » supra.

J’attends donc des procureurs et parquets de France qu’ils ouvrent une information judiciaire pour une mise en examen de l’incitateur à la haine et à la violence Macron, sans préjudice de propos anti-chrétiens, antijuifs et anti-mécréants qui pourraient bien tomber sous le coup de la discrimination et même, allons jusque-là, de négationnisme : par son apologie d’al andalous en le qualifiant de période culturelle heureuse, il y a une volonté de taire les viols, déportations, castrations, excisions, esclavages et massacres de chrétiens et de juifs par les musulmans colonialistes, on peut donc affirmer qu’il agit en négationniste.
On fait ici automatiquement et obligatoirement autant qu’impérativement le parallèle criant entre Macron et celui qui nie l’existence des chambres à gaz, et on en a lapidé judiciairement et médiatiquement pour moins de que cela, juste pour des détails de l’Histoire, j’attends donc de la magistrature française qu’elle jette à Macron la première pierre de son cachot.

N’empêche qu’en un seul discours, cela fait beaucoup de viols de la loi pour un seul individu, doit-on le qualifier de malfaisant congénital chronique ?
Signalons enfin qu’une institution comme l’Education Nationale qui ferait, au travers de livres d’histoire fausse, réécrite, masquant la réalité et niant les crimes mauresques sur plusieurs siècles dans le sud de l’Europe par la présentation artificielle et propagandiste de la période Al andalous comme d’une période de cohabitation heureuse alors que s’y pratiquait la traque au juif et au chrétien ainsi que leur esclavage tomberait également sous le coup d’apologie du terrorisme puisque viserait à valider les crimes actuels des coraniques dont les pratiques n’ont jamais changé depuis plus de mille ans, il suffit de regarder la contemporaine traque aux juifs et aux chrétiens dans tout le monde musulman y compris maintenant dans les rues de Londres, Paris ou d’Allemagne islamisées, et tomberait également sous le coup d’un négationnisme qui s’apparenterait pleinement identique à celui qui nie l’existence des fours crématoires.

L’Education Nationale filerait alors le rouet qui la conduirait à rétablir l’étoile jaune en préparation de rafles à venir, bel horizon pour une institution qui ose encore se prétendre un sanctuaire de savoir, de tolérance et de la laïcité.

Jean d’Acre

 

Date de dernière mise à jour : 02/11/2024

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