Les politiciens véreux, les banksters crapuleux, les mondialistes vaniteux et les journalistes crasseux marmonnent de dépit. Quoi ? On avait gagné ! Le monde était à nous ! Plus de nations ni de frontières. Plus de peuples ni de cultures. Des élections volées. Plus d’hommes ni de femmes. Des consommateurs hermaphrodites, apeurés par un réchauffement et un virus apocalyptiques, tabassés par les flics et condamnés par les juges, quand ils osaient désobéir, même en pensées.
Et voilà qu’un grain de sable grippe toute la belle machine à empapaouter. Et pas n’importe quel grain. L’homme le plus riche de la planète, dont on dit qu’il a un grain. Lacan rigolerait de cette polysémie.
Les pourritures qui manipulent l’opinion qualifient Musk d’extrême drouâte. Ils n’ont que cet article en magasin.
Angleterre, Allemagne, Italie, Roumanie… Le technologue milliardaire prend le parti des mouvements patriotes. Donc islamophobes. Et aussi europhobes anti IVe Reich. C’est bien ce que tous les collabos cosmopolites reprochent à ce visionnaire qui les toise du haut de ses 439 milliards de dollars.
Il a compris, comme le plus fauché d’entre nous, que le sort de l’humanité se joue dans une lutte sans merci entre des mahométans vindicatifs restés au Moyen Âge, et les héritiers de la civilisation occidentale. Inventive et créative, curieuse et spéculative, tolérante et relativiste. Des qualités qui sont autant de faiblesses contre des fanatiques qui prétendent imposer au monde entier leur secte et son guru pédophile.
Dans ce combat de survie, nous étions trahis par des politicards collabos stipendiés par les émirs du pétrole, motivés à reprendre la conquête islamique de l’Europe qui n’a jamais vraiment cessé. Malgré leurs défaites à Grenade en 1492 et à Vienne en 1683. Le dépeçage de la Serbie en 1999 en fut le plus récent épisode.
Les félons ont pour instructions de masquer les crimes des islamo-mafieux, et de ruiner quiconque les dénonce. En détournant, de façon ignominieuse, les institutions forgées par des siècles de lutte contre l’absolutisme et l’obscurantisme.
Elon a les moyens de se battre. Non seulement avec sa fortune, mais aussi avec son poids au sein du pouvoir étasunien, qui lui permet de discuter d’égal à égal avec les chefs d’État ou de gouvernement des pays menacés. L’Amérique n’est pas devenue altruiste du jour au lendemain, mais de Gaulle savait se faire respecter de cet allié impérieux. Exemple à suivre.
Elon a décidé de multiplier ses soutiens aux mouvements patriotes en Eurocrature.
Royaume Désuni :
Bien qu’il n’en soit pas à ses premières armes, il a commencé à inquiéter les bandits des médias de grands chemins quand il a apporté son soutien à Tommy Robinson. Un personnage dénigré par Wikimerdia, qui symbolise la rébellion contre toutes les forfaitures de l’Angleterre en perdition. Où l’on remet en liberté les voleurs, les violeurs et les surineurs exotiques, avec un dédommagement pour les avoir ennuyés, et où l’on envoie en prison ceux qui les ont dénoncés.
Musk qui n’a pas appris à parler politiquement correct à l’ENA fustige publiquement le Premier ministre fantoche Keir Starmer, un voyou qu’il accuse de diriger un État policier tyrannique. Complice et profiteur de l’État profond depuis quatre décennies comme toute la gauche, ce triste sire muselle et emprisonne ceux qui rappellent les casseroles qu’il traîne, du temps où il était procureur général. Quand il classait les dossiers des maquereaux, des racketteurs, des violeurs et des égorgeurs mahométans. Au nom d’un alibi nauséeux d’antiracisme.
Pire qu’en France ? Les rosbifs ont creusé un peu plus profond que nous dans les fondrières de l’ignominie et de la prévarication. Mais on y vient. Si le grand bordel né de la dissolution détourne momentanément les regards, le chapon Bayrou et le faisan Macron ont toujours l’islamisation de la France en priorité sur leur feuille de route.
https://www.gloria.tv/post/ATFHGXYECLz93BjCGC8fFEDto
Au Royaume désuni, Elon Musk veut apporter son soutien financier au parti « Reform UK », dont la figure de proue Nigel Farage a eu la peau de la dictature européiste. Ils se sont rencontrés à la résidence de Donald Trump à Mar-a-Lago. De quoi détruire l’espoir des « progressistes » qui cherchent des divergences entre le Président élu et son allié.
Des juristes pourraient créer une structure du Commonwealth permettant aux fonds de transiter par le Canada ou l’Australie, puisque le financement de partis politiques par des étrangers est interdit en UK. Sauf s’il s’agit de princes du pétrole qui virent le pognon directement sur les comptes numérotés des politiciens collabos, aux îles Cayman.
Allemagne :
Elon a publié dans « Die Welt » une tribune pro-AfD (Alternative für Deutschland) qui est selon lui « la dernière lueur d’espoir dans un pays au bord de l’effondrement économique et culturel. Le seul parti qui peut sauver l’Allemagne du désastre ». Il a rendez-vous le 9 janvier avec Alice Weidel , la patronne de l’AfD, à qui reviendrait le poste de chancelier en cas de victoire. Possible après l’attentat islamiste de Magdebourg, et une trentaine de crimes terroristes ces dernières années.
Olaf Scholz, le caniche de Pustula, voulait réduire la liberté de déplacement d’Elon pour empêcher une rencontre avec des gens qui sont en permanence sous la surveillance de la nouvelle Gestapo. Accusés de visées antidémocratiques, une ruse imaginée par Adolf dès son arrivée au pouvoir en 1933 pour déconsidérer ses adversaires.
Ainsi, si les AfD gagnent l’élection, les néo-nazis déguisés en démocrates pourront renverser le résultat comme en Moldavie, ou l’annuler comme en Roumanie. Pour ces eurotocrates, la démocratie c’est uniquement quand le peuple vote comme ils l’entendent. En conchiant le référendum de 2005, le repris de justice Sarkozy leur a montré la voie à suivre.
L’interview d’Alice Weidel aura lieu sur X, comme naguère avec Trump. Olaf qui a sabordé son Parlement façon Macronescu dans un gros caprice, ne peut s’y opposer. Alors il a accusé Musk d’ingérence. La réaction de Elon ne s’est pas faite attendre. Il a traité le Teuton d’abruti et d’incapable. On aimerait qu’il nous rende visite. Pour dire tout haut ce que beaucoup de Français pensent très fort mais n’osent pas crier.
L’Angleterre et la Germanie étaient les plus gros morceaux, mais il n’oublie pas les autres
Italie :
Musk entretient des contacts amicaux avec Giorgia Meloni. On les a vus plusieurs fois ensemble au restaurant ou au spectacle, au point de leur prêter une idylle. Les deux ont démenti. En toute hypothèse, cela ne nous regarde pas.
Il a déclaré qu’elle était une personne honnête et authentique, des qualités rares en politique, et salué son travail remarquable avec une croissance et un emploi record. Invité au congrès des Fratelli, le parti de Giorgia, il a exhorté l’Italie à faire plus d’enfants, à se prémunir du virus woke et à lutter contre l’immigration sauvage. Proposant d’investir dans la nouvelle astronautique italienne.
Musk a partagé les inquiétudes de Meloni sur le destin de la civilisation occidentale, fustigeant un Occident masochiste qui voudrait effacer nos symboles de civilisation et risque de devenir un figurant à la remorque de l’islam. En évitant cette fois les maladresses de Steve Bannon qui percevait mal les spécificités des mouvements patriotes européens.
En recevant Giorgia à Mar-a-Lago, début janvier, Trump n’a pas tari d’éloges sur la présidente du Conseil italien, « une femme fantastique qui devrait diriger l’Europe » (on espère que Pustula a apprécié).
Ce genre d’invitation privée est réservé à des personnes triées sur le volet comme Viktor Orbán et Javier Milei avant elle. On a donc bon espoir de voir s’affermir une coalition de pays sur la même longueur d’onde en matière de valeurs de civilisation, pour contrer des progressistes crapuleux prêts à vendre leur pays pour quelques pétrodollars de plus.
Il est vraiment dommage que Marine ait encore fait le mauvais choix en se désolidarisant de l’AfD, parce qu’il prône la remigration des indésirables.
Christian Navis