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OCDE : la France, plombée par son immigration de très basse qualité

Dramatique échec de l’intégration : la France bonnet d’âne de l’Europe.

France: croissance plombée, l'OCDE appelle à un nouveau plan anti-déficit

Nous avons une immigration de très basse qualité, souvent sans qualification ni diplôme, ce qui explique qu’elle émarge très largement au guichet de l’assistanat et coûte plus cher en social que sa contribution au PIB.

Et puisque notre nouveau Premier ministre nous a promis la vérité, qu’il nous livre les vrais chiffres de l’immigration : nombre réel d’immigrés sur trois générations et coût total pour le contribuable.

Les dernières données de l’OCDE sur l’intégration des immigrés confirment ce que nous dénonçons depuis des années chez RL : le bilan économique, budgétaire et social de notre politique d’immigration est un désastre. Et que dire du bilan sécuritaire et culturel ?

Michel Barnier entend maîtriser les flux migratoires qui nivellent le pays par le bas depuis trente ans, mais cette prise de conscience de la droite arrive bien trop tard, quand la situation est devenue incontrôlable, faute de courage politique.

C’est après les Assises sur l’immigration de Villepinte, en 1990, qu’il fallait agir, au lieu de les enterrer. C’est suite au rapport Obin sur l’islamisation de l’école républicaine, en 2004, qu’il fallait agir, au lieu de le mettre sous le tapis comme l’a fait François Fillon à l’époque.

La droite est un modèle de lâcheté et de renoncement. Elle a une lourde responsabilité dans le naufrage de la nation actuel, puisqu’elle a mené continuellement une politique immigrationniste de gauche, pour ne pas être accusée de marcher sur les platebandes du FN et par peur d’être taxée de racisme.

Les chiffres  (source : tribune Figaro du directeur de l’Observatoire de l’immigration)

– selon les conclusions de l’OCDE, les immigrés en France sont moins bien intégrés et sont plus pauvres que partout ailleurs en Europe.

– les personnes nées à l’étranger ont un taux d’emploi de 61 %, soit 7 points de moins que les natifs.

– les étrangers extra-européens ont un taux d’emploi de 52 %, soit 14 points de moins que les natifs.

– le taux de chômage des étrangers extra-européens est de 20 % contre 8 % pour les natifs

– le taux de pauvreté des ressortissants extra-européens est de 48 %, le plus élevé d’Europe. Il est de 11,5 % pour les natifs. 36 points d’écart !

Les causes :

– c’est en France que l’immigration liée au regroupement familial est la plus élevée, avec un taux de 41 % (trois fois plus que l’Allemagne), contre un taux de 10,5 % pour l’immigration du travail

– 33 % des personnes nées à l’étranger ont un niveau inférieur ou égal au brevet des collèges, contre 16 % pour les natifs

– 43 % des étrangers extra-européens n’ont aucun diplôme ou seulement le brevet

– la France accueille l’immigration la plus africaine de tous les pays développés. 61 % de nos immigrés sont originaires d’Afrique subsaharienne ou du Maghreb. C’est trois fois plus que la moyenne de l’UE

– les femmes immigrées d’origine extra-européenne ont un taux de fécondité de 3,3 enfants. Celui des natives est de 1,66 enfant

– la part des jeunes nés de parents immigrés, qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en scolarité, est la plus élevée d’Europe avec la Belgique.

Conclusions :

À l’heure de l’Intelligence artificielle et de la course aux technologies du futur, nous accueillons l’immigration la moins qualifiée de la planète. Certains Africains sont illettrés voire analphabètes. Nos anciennes colonies font partie du top 20 des pays les plus touchés par ce fléau. Rien d’étonnant donc au ratage absolu de l’intégration.

“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”

Les plus diplômés s’intègrent, les autres restent sur le quai et sont un fardeau pour le pays, les métiers non qualifiés n’étant pas extensibles et étant déjà occupés.

En clair, la majorité de nos immigrés coûtent plus cher en social que leur contribution au PIB.

Ou bien, dit plus élégamment : “Ce sont des consommateurs fiscaux nets, sur-bénéficiaires et sous-contributeurs des dispositifs de solidarité collective”

Et sur les 500 000 immigrés arrivés chaque année, le tiers sont des clandestins !

Il serait intéressant de connaitre la part que pèse cette immigration de basse qualité et largement assistée, dans nos 3 200 milliards de dettes.

Michel Barnier aura-t-il le courage de  briser ce scandaleux tabou ?

Jacques Guillemain

Date de dernière mise à jour : 14/09/2024

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