
Le conducteur a été neutralisé ; la police enquête sur ses motivations ; 8 personnes ont été piégées sous le camion qui a foncé sur la foule près du QG du Mossad
Un homme a été tué et 32 personnes ont été blessées dans une attaque terroriste présumée à un arrêt de bus près de Herzliya dimanche matin – cinq sont dans un état grave, sept sont modérément blessés et 20 sont légèrement blessées.
La police a déclaré que le conducteur, un arabe israélien originaire de Qalansawe, dans le centre d’Israël, qui a foncé avec son camion sur des passants à un arrêt de bus situé à l’extérieur de la base de Glilot de l’armée israélienne, dans le centre d’Israël, au nord de Tel Aviv, a été visé et « neutralisé » par des civils armés qui se trouvaient dans le secteur.
Selon l’enquête initiale de la police, un bus s’était arrêté à l’arrêt situé à l’extérieur de la base pour déposer des passagers, lorsqu’un camion a foncé sur l’abribus, percutant les personnes qui s’y trouvaient.
Un homme a été tué et 32 personnes ont été blessées dans une attaque terroriste présumée à un arrêt de bus près de Herzliya dimanche matin – cinq sont dans un état grave, sept sont modérément blessés et 20 sont légèrement blessées.
La police a déclaré que le conducteur, un arabe israélien originaire de Qalansawe, dans le centre d’Israël, qui a foncé avec son camion sur des passants à un arrêt de bus situé à l’extérieur de la base de Glilot de l’armée israélienne, dans le centre d’Israël, au nord de Tel Aviv, a été visé et « neutralisé » par des civils armés qui se trouvaient dans le secteur.
Selon l’enquête initiale de la police, un bus s’était arrêté à l’arrêt situé à l’extérieur de la base pour déposer des passagers, lorsqu’un camion a foncé sur l’abribus, percutant les personnes qui s’y trouvaient.
Le groupe terroriste palestinien du Hamas a publié une déclaration peu après l’attentat présumé, saluant « l’attaque héroïque [au camion] bélier » qui a été perpétrée près du « quartier général [de l’agence de renseignement] du Mossad ».
Le secteur de Glilot, situé à proximité de Herzliya, abrite le quartier général du Mossad ainsi que plusieurs unités de renseignement de Tsahal, dont l’unité 8 200 du Corps de Collecte de Renseignements, très médiatisée, qui est spécialisée dans le renseignement.
Sans revendiquer une responsabilité dans cette attaque, le groupe terroriste palestinien a déclaré qu’il s’agissait d’une « réponse naturelle aux crimes de l’occupation sioniste [Israël] contre notre peuple palestinien à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem, et à ses massacres brutaux en cours, en particulier dans le nord de la bande de Gaza ».
Le service de secours du Magen David Adom (MDA) a indiqué que huit personnes étaient coincées sous le camion lorsque les secouristes sont arrivés à l’arrêt de bus, et que d’autres étaient au sol ou marchaient à proximité.
Policiers et ambulances se sont précipités sur les lieux, où la police a bouclé la zone pendant que les premiers intervenants aidaient les blessés et qu’un hélicoptère survolait les lieux.
Après l’attaque, l’hôpital Ichilov de Tel Aviv a déclaré que l’une des victimes de l’attaque terroriste présumée était dans un état critique. Peu de temps après, l’hôpital a publié un communiqué indiquant que les médecins avaient dû prononcer le décès de l’une des victimes. On ne sait pas s’il s’agit de l’une des victimes grièvement blessées.
La plupart des blessés étaient des personnes âgées qui étaient descendues d’un bus pour se rendre dans un musée voisin pour marquer la journée nationale de commémoration des personnes tuées lors du pogrom perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 dans le sud d’Israël et de la guerre qui s’en est suivie.
La police enquêtait sur d’autres détails, notamment sur le motif de l’attaque.
Lors d’un autre incident survenu dimanche en Cisjordanie, Tsahal a indiqué qu’un automobiliste palestinien qui avait tenté de percuter des soldats et ensuite de les attaquer à l’arme blanche près de la ville de Hizma, en Cisjordanie, a été abattu.
Après l’attaque, l’hôpital Ichilov de Tel Aviv a déclaré que l’une des victimes de l’attaque terroriste présumée était dans un état critique. Peu de temps après, l’hôpital a publié un communiqué indiquant que les médecins avaient dû prononcer le décès de l’une des victimes. On ne sait pas s’il s’agit de l’une des victimes grièvement blessées.
La plupart des blessés étaient des personnes âgées qui étaient descendues d’un bus pour se rendre dans un musée voisin pour marquer la journée nationale de commémoration des personnes tuées lors du pogrom perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 dans le sud d’Israël et de la guerre qui s’en est suivie.
La police enquêtait sur d’autres détails, notamment sur le motif de l’attaque.
Lors d’un autre incident survenu dimanche en Cisjordanie, Tsahal a indiqué qu’un automobiliste palestinien qui avait tenté de percuter des soldats et ensuite de les attaquer à l’arme blanche près de la ville de Hizma, en Cisjordanie, a été abattu.
Des membres de la coalition, y compris des politiciens de haut rang du Likud, ont appelé à l’adoption du projet de loi qui priverait les familles de terroristes de leur citoyenneté et les expulserait du pays.
Le ministre de la Culture et des Sports, Miki Zohar, et le chef de file de la coalition, Ofir Katz, ont appelé les parlementaires à voter en faveur du projet de loi à la suite de l’attaque. Zohar a écrit et Katz a repris un message sur le réseau social X déclarant que la loi « doit être soutenue à la fois par l’opposition et par la coalition ».
S’exprimant sur les lieux de l’attentat, le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a déclaré qu’il présenterait le projet de loi à la Knesset mardi et qu’il « s’attend à ce que le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ainsi que tous les députés du Likud, soutiennent cette loi afin qu’elle soit adoptée ».
Le projet de loi en question est actuellement prêt pour ses deuxième et troisième lectures au sein de la commission de la Knesset. Il donnerait au ministre de l’Intérieur le pouvoir, après une audition, d’ordonner l’expulsion d’un parent d’un terroriste qui connaissait à l’avance les projets de son proche et qui, soit ne les a pas signalés, soit a exprimé de la sympathie et des encouragements pour un tel plan d’action.
Le ministère de la Justice et le bureau de la procureure générale ont exprimé leur inquiétude quant à ce projet de loi, qui pourrait rendre des personnes apatrides. Selon le texte, les personnes expulsées seraient envoyées soit dans la bande de Gaza, soit vers d’autres destinations, en fonction des circonstances.
La ministre des Transports, Miri Regev, s’est également prononcée récemment en faveur de l’expulsion des proches des citoyens qui commettent des attentats, déclarant au début du mois, à la suite d’une fusillade à Beer Sheva, que « le moment est venu d’appliquer une sanction dissuasive qui empêche les attentats sur le territoire israélien ».
Les attaques de dimanche ont eu lieu alors qu’Israël marquait le premier anniversaire, d’après le calendrier hébraïque, de de l’assaut barbare et sadique commis par le Hamas, le 7 octobre 2023, sur le sol israélien, le plus meurtrier de l’histoire du pays et le pire mené contre des Juifs depuis la Shoah, au cours duquel plus de 1 200 personnes ont été assassinées et 251 autres ont été prises en otages et emmenées de force à Gaza.
Depuis, 41 Israéliens, dont des membres des forces de sécurité, ont été tués dans des attaques terroristes palestiniennes en Israël et en Cisjordanie. Six autres membres des forces de sécurité ont été tués lors d’affrontements avec des terroristes en Cisjordanie.
À la mi-octobre, un policier a été tué et quatre personnes blessées lorsqu’un terroriste a ouvert le feu sur la Route 4, au nord de la ville côtière d’Ashdod, et un homme a été tué lors d’une attaque terroriste à l’arme blanche à Hadera la semaine précédente. Sept personnes ont été tuées et au moins huit blessées lors d’une fusillade et d’un attentat à l’arme blanche à Jaffa le 1er octobre, quelques minutes avant que l’Iran ne lance une attaque massive de missiles balistiques sur Israël.
Emanuel Fabian
