Pour la plupart, les pays de l’Europe, comme certains états du Monde, sont dans le viseur de l’Islam radical et du terrorisme. Depuis longtemps déjà, la France fait partie de ces nations que les islamistes convoitent depuis de longues années, pour y installer in fine, au moment opportun, le système politico-religieux qui règne dans les républiques où l’Islam est la religion officielle. Bien que ce phénomène ne soit pas récent, il s’est installé peu à peu dans les banlieues et dans les cités au cours des années 80, sans que quiconque y prête une grande attention.
En fait, il s’est créé alors de véritables communautés silencieuses qui, au-delà de leurs coutumes et de leurs traditions, ont mis en place une sort idéologie basée essentiellement sur la religion islamique. Cependant, à cette période, l’esprit d’alors, n’allait pas dans le sens d’un conquête possible du pouvoir. Pour la plupart, les musulmans se contentaient d’une situation de ghetto où ils retrouvaient leurs repères et leur croyance.
Les générations qui ont suivi n’ont pas eu le même raisonnement. Bien au contraire. Elles ont considéré que leurs parents ou leurs aïeuls avaient été victimes de la nation, par manque de considération et de justice sociale. Il faut dire et admettre que les divers gouvernements français qui se sont succédé, à droite comme à gauche, n’ont pas été à la hauteur de leurs missions politiques qui consistent à assurer aux citoyens une place réelle dans la société. Dans un tel contexte, les banlieues ont eu un sentiment réel d’abandon, malgré les plans financiers très coûteux qui leur avaient été dédiés. La discrimination, l’illettrisme, le chômage important, ont été les principaux facteurs de révolte qui ont touché particulièrement les jeunes des cités. Et c’est ainsi que s’est développé une hostilité, voire des sentiments de haine envers la France et les Français de souche. Ce mécanisme s’est révélé notamment chez une catégorie de citoyens issus de l’immigration et devenus français, soit par naturalisation, soit par le « droit du sang », soit encore par le « droit du sol », ou aussi par le mariage.
Aujourd’hui, tous ces individus revendiquent leurs droits de citoyens français à part entière et sur ce point, on ne peut le contester car ils entrent entièrement dans le cadre républicain qui prévoit spécialement l’égalité et la justice entre les hommes. Mais un problème sérieux apparaît quand ces mêmes individus considèrent que la France leur doit tout et qu’elle doit donc se plier à leurs exigences politiques, sociales et religieuses. Parmi eux, des groupes radicaux se sont constitués avec le développement du salafisme d’où est né ensuite le djihadisme. Ces groupes toujours plus nombreux au fil du temps, sont à l’heure actuelle très bien organisés et depuis plusieurs années, ils ont réussi à s’infiltrer dans tous les secteurs clés de l’économie et des administrations. Dans un premier temps, ils ont réussi à s’introduire dans les entreprises privées et dans les structures commerciales, avant de pénétrer dans la fonction publique : armée, police, gendarmerie, impôts, enseignement, La Poste, Culture et communication, collectivités locales et régionales, SNCF, douanes, etc … etc … Sans oublier leur implantation dans les grandes complexes de notre Pays : transports en commun, RATP, aéroports, sites sensibles de gardiennage, réseaux d’informations et de renseignements.
Ainsi, l’attentat du 3 octobre à la Préfecture de police de Paris a démontré que la mouvance salafiste agissait au cœur de la sécurité et de la défense, capable de tuer et de massacrer froidement, comme d’anéantir, le jour venu, la République et la démocratie.
Il est clair qu’à ce niveau, tout citoyen est en droit de se poser les vraies questions sur le rôle de l’Islam dans ces assassinats et ces atrocités. Les « défenseurs » d’un certain islam, celui que l’on nomme par exemple « L’islam de France » ne voient dans ces crimes qu’un minorité d’individus fortement radicalisés qui agissent plutôt en tant que terroristes et non d’islamistes, même si leurs actes délictueux sont revendiqués au nom de la religion musulmane.
Pour autant, il ne faut pas se méprendre sur les intentions de la plupart des fidèles de l’Islam. À première vue, on peut penser que les musulmans modérés ne cautionnement pas le terrorisme. En fait, il est très rare de voir la communauté musulmane s’indigner contre les attentats et sur ce point, les exemples sont nombreux, tant la France a été confrontée depuis 2012 aux drames les plus douloureux provoqués par les djihadistes.
En réalité, une très grande partie de la communauté musulmane, bien que modérée, est complice directement ou indirectement du Djihad qui opère sans cesse partout dans le Monde, contre les États, et en particulier les pays démocratiques. Concrètement, cette communauté musulmane attend patiemment que les djihadistes fassent leur « sale boulot » avant de pouvoir s’imposer définitivement au sein d’une future république qu’elle souhaite « islamiste ».
L’Islam radical a adopté une politique de conquête discrète par le biais de l’éternelle méthode du Cheval de Troie. Quand les conquérants auront assiégé la France dans tous ses lieux stratégiques, ils s’y installeront définitivement en prenant les commandes de la Nation en déroute.
Soyons clairvoyants : Il n’y a pas deux « Islam » comme certains voudraient bien nous le faire croire, à savoir : l’Islam d’ailleurs et l’Islam de France. Sur le terrain, il n’y a qu’une sorte d’Islam : celui qui veut conquérir l’Europe pour la dominer et la coloniser dans le même esprit que l’Islam du VIII° siècle, les arabes voulaient conquérir le Royaume franc. Mais, après plusieurs batailles, le chef militaire franc Charles Martel aura raison le 25 octobre 732 aux portes de Poitiers, de l’armée musulmane commandée par le général Abd al-Rahman.
En conclusion, la France ne doit pas subir une invasion islamiste. Si, conformément aux règles de la République française et en vertu de la loi de 1905, les musulmans ont le droit évident de pratiquer leur religion dans leurs lieux de prière, l’Islam doit rester toutefois en dehors de toute idéologie politique, notre nation ne devant en aucun cas s’islamiser, directement ou indirectement.
Les siècles passés ont fait de la France, un pays exceptionnel : son histoire, sa culture, son patrimoine architectural, son industrie, sa philosophie des lumières représentent la puissance et la gloire de notre nation. De même, par le sacrifice de ses enfants au cours des conflits et des guerres, la France a été également un exemple de courage et de volonté. Aussi, il n’est pas concevable que la grandeur de notre Pays soit balayée par un courant islamiste qui constituerait le malheur de nos compatriotes et des générations futures.